journal de route de marilou

prenant son carnet de voyage marilou s'installa au pied d'un arbre et sorti le necessaire pour ecrire
sylphaël pris un bout de bois et son canif pour le sculter

dis maman pourquoi on fais ce voyage ensemble ,ca va pas avec papa?

non mon ange ,j'ai besoin de te parler et de me retrouver ,d'ou ce voyage ...

laissant mon fils pensif ,je me mis à écrire:

nous voila parti depuis une journée ,je pensait atteindre gueret dans la nuit ,mais la fatigue aidant ,j'ai fais un campement dasn une clairiere...
sylphaêl se pose des question et c'est normal ,pourquoi partir juste avec lui et pas les autres?
juste parce que je dois lui parler il est grand temps .
notre passé nous rattrappe ,et je dois reussir a surmonter cela .

nous sommes a une nuit de marche de gueret ,nous y passerons une nuit surment a l'auberge pour que sylphaêl puisse se reposer ,et moi de prendre de quoi nous nourrir pour 3 jours.

la clairiére est jolie ,cela me rappel quand il etait enfant que nous vivions dasn la cabane a saint iagnant...

au petit matin nous arrivâmes au porte de la ville de gueret,je demanda a rencontrer les autorité ,un soldat m'emmena a la mairie et me pria d'attendre ,le chef douanier aller me recevoir ...
regardant la mairie ,je fut surprise de trouver le lieu acceuillant...
le temps passa vite une dame vint ama rencontre après avoir echanger les formalité d'usage ,elle me tendit un parchemin m'autorisant a achetais de quoi nous nourrire ,et un parchemin me donnant le droit de me rendre a tulle
je la remercia avec gratitude et quitta la piece pour aller flaner sur le marché ,je pris deux fruit et deux lait puis une miche de pain ,pour dejeuner avec sylphaêl ,il me demanda qui etait la dame ,je lui repondit et il me dis
comme toi maman avant ?

oui mon petit ange comme moi avant

je lui sourit et nous nous dirigeâme vers la taverne municipale pour nous reposer et nous desaltèrais un peu..

maman je pourrais ecrire a papa et mes frère et soeurs ?

biensur mon pitit ange ,ols seront heureux d'avoir de tes nouvelles et des mienne

sylphaël me regarda avec u voile sur les yeux

nous parcourâmes la ville qui semblais dessert

maman personne ne vit ici ?

mais mon ange ,mais les gens son occuper comme à chateau

oui mais chez nous,ils s'arretent en taverne ici il a personne meme pas dans les rue .
tu croix que ces des loup garrou tous ?

m'enfin sylphaël ne dis pas de betise allons au marché ,voir si nous trouvons notre bonheur ,.

arriver au marché ,je trouva des etales vide pas ames qui vive ....le pain semblais rassi ,le lait tournée ,la viande en putrifaction sasn parler des fruit et du poisson qui pourrisait au soleil.

je pris la main de sylphaêl et nous fesame demi tour ,direction une clairière,bien plus acceuillante

une fois installer je fis un feu de camp et prepara une repas pour nous deux ,je regarda mon fils qui semblait si triste ...

dis moi sylphaêl ,veux tu qu'on ailles chercher papa et tes frères et souers pour ce voyage a tulle ?

ho oui mamanil me manque tellement....et toi aussi maman ils te manque ,je t'entend pleurer la nuit, et tu crie le nom de papa...


bon sylphaêl ,je vais ecrire a papa de nous rejoindre avec les autres a limoge ,nous y resterons le tant qu'il arrive ,oui ils me manques mais c'est mon choix de faire cette retraite spirituel...
donc prenon nos parchemin et de quoi ecrire ,nous allons leur ecrire pour leur dire a quel point ils nous manquent.

joignant le geste a la parole ,mari pris un parchemin la plume et l'encre et ecris a son trésor ,sylphaël en fut autant, en souriant.

les chemins son poussiereux ,nous sommes aller jusqu'a la capital ,je n'ai rencontré personne ,sylphaël etait mal donc nous avons fais demi tour et somme retourner a la clairiere ou nous sommes bien ensemble devant le feu de camps .

je n'ai rien dis a sylphaël encore ,mais il me sens febrille et un air joyeux me trotte dans la tête...
je sifflote souvent et lui apprend un peu mes cours ,pas facile de se plonger dans les livres quand on a l'esprit ailleurs...

un lapin s'approche par curiosité sylphaël veux le capturer pour le mettre avec pinpin..le lapin biensur na pas attendu et j'ai mis du temps a lui expliquer que les lapin dans la nature etait pas facile aattrapper ...

voila nous somme bien dans cette clairiere ...

je vis merina arriver avec un parchemin ,je lui tendit mon bras pour qu'elle s'y depose ,ayant mis mon poignet en cuir ,bein avant sa venue .
merina se posa sur mon avant bras et me reclama une caresse avant que je puisse prendre le parchemin ,chose que j'executa avec frebilité ,les nouvelles etait bonne ? ,je n'en savait rien ,j'etais parti ,sans un regard en arriere ,je pris donc le parchemin et le lue ...

sylphaêl qui avit vue merina vint en courrant

maman maman c'est des ouvelles de papa ? hein dit moi c'est bien lui ?

sautillant et impatient ,je l'intimida au calme avant de lui lire les quelques lignes

sylphaël calme toi d'abord et arrete de gesticuller ainsi ,mettons nous assis

je m'executa et sylphaël m'imita alors qu'il n'avait qu'une envie ,c'etait de sauter partous .

je lis le parchemin a voix haute et mon fils d'un bon me sauta dessus ,me faisant ecrouler de rire et nous roulions enssemble dans l'herbe ....

bon maintenant il nous reste a lui dire ou ce trouve le campement que nous avons fais ,pour qu'ils nous rejoignent

non maman allons a leur recherche tout les deux ,papa avec les 4 auras plus de mal a se deplacer que nous deux

je refflechit et trouva que sylphaël avait une bonne logique

oui tu as raison ramassons nos affaire et partons a leur recherche .

nous ramassames vite nos affaire ,j'etteignit le feu en le recouvrant de terre ,tout les deux pret ,nous quittames la clairiere a la recherche de papa et des enfants .
sylphaêl sifflotter heureux et sautillait partous en me disant de presser le pas ...

enfin la ville de limoge ou nous nous retrouvames ,mais ce fut de courte duré.
nous reprimes la route pour tulle,clé avancer bien plus vite que moi ,et je le perdu de vue sur un chemin sombre ,sylphaël resta avec moi et me rassura en me disant que nous nous retrouverons a tulle .

les remparts de la ville se dessiner a l'horizon ,mon coeur battant la chamade ,je pressa le pas ainsi que le petit ange qui m'accompagner,j'allais le retrouver et me blottir contre lui.

j'entra dans la ville sans difficulte et je parti asa recherche ,ne le trouvant pas ,je me dirigea vers les vergers et nous ceuillimes du fruit toute la journée ,sylphaël etait heureux ,mais me reclamer son père ,le soir venue ,je pris une chambre a l'auberge ... en attendant le tavernier ,j'entendit le son de sa voix et j'en frissonna ,sylphaêl couru jusqu'a la grande salle et sauta au cou de son père ,je n'avit pas eu le temps de le retenir .

je m'avanca doucement et les vit entrain de parler ,je m'approcha et l'embrassa ,d'un long baisé et fit une bise tendre a mon filot qui etait la aussi a parlotter.

je m'installa au coté de mon trésor et après avoir echanger des banalité ,la nouvelle tomba ,il reprenais la route pour donner mains forte en bourgogne ,je n'ueu pas le loisir d'en profité ,la route avait etais longue et la journée pénible ,je lui annonca que j'irais pas avec lui en bourgogne ;mais que je l'attendrai ici ,a me recceuillir auprès de mon fillot.
un pigeon arriva et je me plongea dasn sa lecture ,je n'entendait rien autour de moi ,quand soudain une phrase me fis lever la tête et me rebella
nanmeho ,je suis assez grande pour prendre soin de moi...
je sais qu'il pars d'une bonne intention ,mais cela prouve qu'il na pas encore confiance ou qu'il doute de moi...

j'ai dis etre assez grande pour prendre soin de moi...,je sasi pas ce qu'il se passe ,mais cela ma un peu gcher la joie de le retrouver...j'aurais du lui dire de pas partir en bourgogne,mais j'ai pas pue ,je pense que j'ai encore besoin de cette solitude ,qui c'est emparer de moi...

voila ,j'espere avoir des nouvelles ce soir .

sylphaêl est fatiguer ,je pense qu'il couve un mauvais rhume ,mais j'en suis pas sur ,et je vais devoir chercher un docteur...je suis heureuse les autres enfants son avec moi aussi,cela me rejouit il m'on manquer

je vais en tvoir si j'appercoit le medecin du village

je recu le pigeon ,assoiffeet fatiguer.
le le soigna et pris le parchemin pour le lire ,les enfants dormait tous blotti les uns contre les autres ,a la lueur d'une chandelle ,je lue et relue le parchemin ,je pris un parchemin vierge et lui répondit....

arriver a la moitie du parchemin ,je ne trouva plus les mots ,mes yeux s'embrouillaièrent,et des larmes jaillir ,je reposa ma plume et ferma les yeux ...
je l'ai rouvrit et roula le parchemin,puis appelant merina d'un coup de sifflement sec ,je lui accrocha le parchemin et lui ordonna d'aller retrouver clé ,sur les chemins pour lui remettre ce parchemins .
je n'avais pas la force de poursuivre ,ma lettre ,je l'envoya sans rien y ajouter ,ni meme ma signature ,il me fallait puisser dans mes reserve pour terminer cette lettre ,mais cela attendrais que je me sois un peu reposer ...

je m'allongea a même le sol et regardant les étoiles ,ma tête me faisait mal ,je ferma les yeux des larmes roulèrent sur ma joue et les meandres du sommeil m'emportèrent dasn une nuit de sommeil sans rêves .

je me reveilla au son des oiseaux ,je me demanda ou j'etais quand soudain ,les souvenir de la veille ressurgirent ,des images aussi ,virent prendre place ,je m'assit et regarda autour de moi ,les enfants etaient la endormis les un contre les autres .
je me leva sans bruits et vacilla ,mes jambes etaient encore tremblante ,mes mains n'en parlons pas ,je m'eloigna tant bien que mal et m'approcha du ruisseau ,puis y plongea mon visage dans l'eau fraiche .

la veille,j'avais du abuser de la bierre ,je n'avais que quelque image ,de moi levant ma chope et trinquant avec joey et les autres ,notre discussion ,m'avait plonger dasn un etat segond ,la beuverie avait etait pour moi une sauvegarde...

me voila belle et honteuse ,qu'aller pensé ,les gens ,et cle quand il apprendrais que j'ai bue pour noyer mon chagrin ...chagrin cause par d'autres tracas que le long voyage que j'ai entrepris ...

honteuse ,je me deshabila et entra dans leau du ruisseau ,pour me laver ,le corps et l'esprit encore embume ...

j'entendit du bruit et ,me cacha la poitrine de mes bras ,sylphaêl arriva pret du ruisseau et m'appela en chuchotent

maman ,maman tu es la ?

oui p'tit ange ,ne bouge pas j'arrive

j'ai eu peur maman que tu soit parti deja ,j'aimerais te parler un peu

oui sylphaêl ,je me rhabille et j'arrive ,nous irons faire quelque pas


sortant de l'eau ,je pris ma chemise et l'enfila puis ma jupe ,sans me secher ,sylphaêl avait l'air perturbe ,et cela me tracassa ,j'esperais ne pas avoir fais de betise la veille au soir

une fois habiller ,je le rejoignit et lui pris la main
allons en amont du ruisseau sans trop nous eloigner ,j'ai l'impression que quelque chose te tracasse ...

je m'assit sur une branche morte et demanda asylphaêl d'en faire autant,il s'executa sans un mot ,puis me regarda avec serieux et me dis

maman ,depuis que nous sommes parti,tu es triste et distante ,papa nous a regnoins et il est reparti ,tu na rien fais pour le retenir ,j'aimerais que tu m'explique pourquoi ....
je te vois , triste par moment et souriante a d'autre moment ,je sais qu'il se passe quelque chose ,mais je sasi pas quoi,dis maman tu aimes toujours papa hein ....

j'écouter mon fils ,quand ces paroles me parvinrent au oreilles ,je ne pue retenir mes larmes et me cacha le visage dans les mains ,sans pouvoir lui répondre ....
il se leva et m'entoura de ces petit bras me murmurent maman je t'aime tu sais et je suis grand maintenant ,je comprend plein de chose tu sais

je releva mon visage et lui sourit atravers les larmes
chuchotent ,je lui répondit
sylphaêl ,je ne sais plus ou j'en suis ,je ne sais plus ,je ne sait pas que faire ,pour l'instant je cherche des réponses que je n'ai pas

maman c'est pour cela que depuis qu'on ai la ,tu bois ,car si tu croix que j'ai rien remarquer ,ben tu te trompe ,cette nuit j'ai fais semblant de dormir ,je t'ai entendu tomber et pleurer ,puis demander pardon a aristote ,maman ,je veux pas te voir comme cela ,tonton anatos pourrais t'aider non ?


en l'entendant parler d'anatos ,les image de mon frère entrant dans la taverne ,me revinrent en memoire ,il avait tenue a me raccompagner ,avec joey ,il m'avait porte et laisser un peu avant le campement ,c'est en me rapprochant ,que je suis tomber ne tenant plus sur mes jambe ,trop ivre pour marcher droite ,pour distinguer le chemin ,je me laissa tomber sur le sol dur pour cacher mon visage rougit par la honte de ma conduite envers les enfants ,j'avais honte que mon grand ai du veillais sur ces frère et soeurs ,alors que moi ,j'allait oublier mes tracas dans la boisson

,je m'agenouilla et lui demanda pardon

sylphaêl ,je vais te ramenais a chateauroux avec tes frères et soeurs ,je suis indigne en ce moment de vous gardez ,et je repartirais a thouard ,faire retraite au monastèere de doc

je me rendais compte que j'entrainer mes enfants dans mon enfers ,et ils ne merité pas cette descente au enfers ,il serais mieux avec leur père et leur tante ...

une fois les enfants coucher ,marilou prit un parchemin ,sa plume et l'encrier ,une chandelle et s'installa pour ecrire la lettre la plus difficil qu'elle ai eu à ecrire .

les larmes ruisselait sur ces joues cela lui etait egale ,il lui fallait etre courageuse et finir son courrier ,avant de reprendre la route pour le berry ,il lui fallait ramenais les enfants auprès de clé ,elle parlerais asylphaël de sa decision,et lui demandarais ce qu'il veux faire ,poursuivre le chemin avec elle ou bien rester en berry aupres de sa famille.
elle decida ,d'ecrire aussi a sa jumelle ppour lui annoncer ....

forte de sa decision ,ravager par la tristesse ,elle roula le parchemin et siffla merina...

rp suite de Marilou posté par clelala





MessagePosté le: 10 Juil 2009 14:48 Sujet du message: Répondre en citant Editer/Supprimer ce message Supprimer ce message



que de chemin parcouru depuis sa fuite du berry,marilou resta songeuse ,quand mérina se posa sur son bras ,elle la caresa et lui tendit une poignet de cailloux .
elle pris le parchemin l'attacha a sa patte et lui ordanna de reprendre son envole jusqu'en berry et de remettre le parchemin a clelala...

elle posa un regard tendre sur les enfants endormis et parti doucement vers le village ,les enfants etait à l'abris ici ,puis bertille veillais sur eux ,depuis son quelle etait arrive ,mari etait un peu plus libre ,le soir ...

traversant les rue du village calme en ce soir d'été ,elle entra dans une taverne et le vit assit devant une tisane songeur ,un sourire se dessina et elle dis

Citation :

bonjour mon fillot

joey leva son regard sur elle ,ce qui la fit frissonner puis sourire ,s'approchant elle s'installa a ce scoté et commanda une bierre ,il se faissait soir par cette chaleur .

ils parlèrent ,de tout de rien ,de leur vie .la nuit etait profonde ,la chaleur resta la en dehord dasn les rue du village ,eux etait bien a l'interieur a la fraicheur des murs .

les heures s'ecoulant ,il s'était rapprocher l'un de l'autre, leur mains se joignir ,leur levres suivirent peut après , l'echange ne dura pas longtemps ,mais il sembla a mari que cela avit duré une eternité ,les mots s'echapper ,sans pouvoir le retenir ,puis vint ce moment magique ,ou leur corps fievreux se rejoignir dans la même communion ,unis dans la même passion ....perdant conscient,perdant pied dans la réalité ,ils s'aimèrent toute la nuit .

au petit matin ,quand l'aube sonna le glas ,de se séparais ,ils etait la honteux mais heureux ,heureux d'avoir liberé leur sentiments .

mari repris le chemin du verger ,avec une pensé tonitruante ,elle avait rompu le lien sacré du mariage ,en se donnant ainsi a son ange ...
il lui fallait prendre une decision ,elle ne pouvait pas aimé en cachet joey et reste vivre avec clelala...

elle décida donc de vivre son amour au grand jour ,sa décison aller brisé deux vie ,voir plus ,mais elle ne pouvait pas faire autrement vivre dans le mensonge n'etait pas une vie .

elle travailla dur toute la journée ,le soir venu elle se precipita en taverne pour le voir et lui annoncer qu'elle voulait pas vivre sans lui .
il décidèrent ,de rompre ,elle son mariage lui ses fiancailles ...

le plus dur etait de ne blesser personne ,mais cela etait impossible ,ils le savaient bien ...

suite.....



ce nouveau bonheur ,qui l'entourais ,la faisait rire ,elle le devait a joey ,mais l'heure etait a la tristesse ,il lui fallait parler avec son époux ,lui annoncer la douloureuse decision qu'elle venait de prendre ,ce moment difficile lui dechirais le coeur .
elle se refusait a vivre dans le mensonge ,dans la trahison,elle avait envoyer merina porter le parchemin,qui ferait souffrir le messire qui etait rentrait en berry avec l'espoire de la retrouver bientôt .

son fils ainé,la rejoint sans rien dire et lui prend les mains ,le silence entrecouper de sanglot fut rompu .
marilou pris son fils et lui demanda d'aller chercher toute la fratrie ,elle devait leur parler et leur annoncer une nouvelle.

sylphaêl parti en courant chercher lyla lonan et abygaëlle,il dis a bertille de venir avec clodulf ,maman avait des chose a dire a tout le monde .

ils revinrent tous auprès de marilou et chacun s'installa a ces coté ,l'entournt ,sans le savoir la protegent de leur corps .

mes enfant je dois vous annoncer ,que j'ai pris la decision ,les mots sortait comme un discour preparer avec soin,le hoquetement que l'on percevait dans sa voie ,les larmes qui roulaient sur ces joues ,ne l'arrêternt pas

reprenant sa phrse ,elle leur annonca de but en blanc la nouvelle ,puissant en elle la force de parler .
j'ai pris la decision de partir ,de ne plus vivre avec papa...
désormer ,je vais vivre avec joey et ces bébés . vous vivrez avez papa ,cela on verra quand on serra tous rentré en berry...nous on ne sais pas encore si on restera ou pas .

les sanglots la firent taire un instant et sylphaël se mit a crier

nooooooooooooooooooonnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnn maman ,je veux pas que tu parte ,je veux pas que tu nous laisse .tu n'as pas le droit maman tu nn'as pas le droit...

marilou se leva et pris son ainé dans ces bras ,celui ci se debatta ,pour lui echapper ,elle lui avait fais mal elle le savait ...mais que faire ? rester avec leur père alors que ces sentiments se sont petit à petit éteint ? vivre en cachette leur amour naissant avec joey ....
elle leva les yeux au ciel et leur demanda pardon ,puis sans les regarder elle demanda a bertille d'aller aux sources ,avec les enfant elle les rejoindrais plus tard ,elle pris sylphaël par la main et lui dis allons promenais ,tu veux ,j'ai vraiment à te parler ...

sans le regarder elle lui expliqua ,le but du voyage commenecr 15 jours plutot avec lui ,elle lui parla du passer sans parler de son père ...
elle lui promis qu'il serait heureux ,et qu'il avait le droit de choisir avec qui il voulais vivre ...elle lui dis ,qu'elle resterais en berry au début ,et que si joey et elle se sentait bien à chateauroux ,ben ils y resterais leur vie durent .
sylphaël ,l'ecouta sans mot dire ,son coeur lui fesait mal ,des envie de crier fort ,le prenait,l'envie de pleurer aussi ,il reniffla et se serra dans les bras de sa mère ,elle se rendit compte qu'il etait un petit homme son petit ange des forêt ,il etait aussi grand qu'elle ,dans un murmure elle lui dis je t'aime mon petit ange ,jamais je t'abandonnerais .
maman je t'en supplie ne nous laisse pas comme ca

18 Juillet 1457


Ils accompagnèrent Mari au couvent, après avoir fait les emplettes, elle avait émis le souhait d'aller prier, pou son salut? pour le leur?....Il charcha une clairière acceuillante, et choisit un endroit légèrement ombragé non loin d'une rivière, il installa la tente et étala les peaux pour la nuit, prenant soin de former des paillasses avec des feuilles et de l'herbe haute fraichement coupée. Il attacha Grisou et sortit le baquet qu'il remplit, laissant l'eau se rechauffer au soleil. Sylphaêl !!! Lonan ....vous voulez bien aller soigner Grisou? Oui papa!!!!! Il commença par débarbouiller Aby et Lyla, puis donna son bain à Clofulf..celui-ci apprécia...Il lui fit un énorme calin....son dernier né lui avait particulièrement manqué... Papa...Grisou est soigné...on l'a brossé et on lui a donné de l'eau et du son... Bien mes garçons aller faire votre toilette..je vous prévient je vérifierai^^ Il brossa les cheveux des filles et leur fit des tresses...Il les prit sur ses genoux et retrouva l'odeur familière de ses enfants... Il les inspecta tour à tour...et quand ils furent fin prêts, il tailla des cannes dans les branchages et proposa aux enfants une partie de pêche... Lyla et Aby emmélerent leurs lignes...et abandonnèrent rapidement les cannes pour retrouver leur jeu de dinette... Papa!!!! j'en ai un!!! viens voir!!!! cria joyeusement Sylphaël.... Llonan le regarda avec des yeux pétillants.... Moi aussi!!! Regarde!!!!! Les deux prises étaient de belles tailles, il entreprit de le vider et de retirer les grosses écailles, pendant ce temps il envoya Sylphaël et Lonan chercher des buches alors que les filles furent charger des brindilles et du petit bois, il forma le foyer avec quelques pierres et installa une sorte de broche, puis quand le feu fut pris grilla les poissons.....Les enfants sortirent les écuelles et il leur partageat le fruit de leur pêche, il se contenta d'un quignon de pain....et chauffa le lait pour Clodulf....Il prit son fils au creux de son bras et lui donna la corne...il apprécia ce moment...cela faisait longtemps qu'il ne l'avait pas fait mais l'habitude revint vite..... c'est tout ce que tu manges papa? oui je nai pas très faim en ce moment.... Dis tu n'aurais pas pris les braies de Balth..par hasard?!!! il esquissa un sourire, non Sylphaël, se sont bien les miennes..... Et si on faisait un gateau dans le four du village... il regarda son fils avec tendresse... Si tu en as envie pourquoi pas....nous irons acheter ce qu'il faut tout à l'heure....ce soir je dois absolument vous parler mes garçons.....puis il chuchota quand les filles dormiront.[/i]







Ils avaient passé la soirée autour du feu de camp, et il en profita pour parler aux garçons... Sylphaël, Lonan.. c'est quoi cette idée de vouloir vivre tous les deux dans une cabane...? et la maison elle sert à quoi? Sylphaël regarda son père et murmura en haussant les épaules... Nous on veux pas vivre entre toi, Jo et maman.....on restera dans la maison que si elle revient... Il n'en est pas question les garçons...si votre mère ne peut vous en empêcher moi je le peux.;vous êtes beaucoup trop jeunes pour vivre seuls dans une forêt...et je serai inflexible....tenez le vous pour dit... Mais papa.... il n'y a pas de mais...Sylphaël si tu veux aller en forêt je t'accompagnerai.. Papa..tu l'aimes toujours Maman?.... Il fit une moue douloureuse.... Oui je l'aime toujours....je l'aimerai toujours Sylphaël et vous aussi....j'ai besoin de vous.....tu sais, je garde l'espoir de la retrouver... Sylphaêl avait déjà remarqué qu'il s'était amaigri, il se tut ne voulant pas confier à ses fils qu'il passait aussi par des phases de grand désespoir.... Il les entoura de ses bras et les serra fort contre lui.....je ne laisserai pas se détruire ainsi ma famille.... ils allèrent se mettre à l'abri sous la toile et il surveilla leur sommeil une partie de la nuit...ses pensées vaganbondèrent longtemps avant que la fatigue ne l'emporte....

19 juillet 1457

Un gazouillis....persistant tout proche de lui le reveilla...il sortit des brumes de sa courte nuit, il s'appuya sur un coude et tourna son regard vers son fils..Clodulf avait l'air d 'une humeur charmante et il le prit dans ses bras... tu m'as manqué toi....mon petit ange.... les deux immenses billes le fixaient.... oui c'est moi ton père.....tu as faim? Il se leva gardant dans le creux de son bras son précieux fardeau, lui fit chauffer du lait et le nourrit, puis il lui fit une toilette et le laissa gazouiller....Lyla se levait elle aussi les yeux ensommeillés..... Papa veux les bras..... il la prit.... ma princesse , je t'aime.... je t'aime aussi....moi y a pleurer....voulais toi..... je sais ma princesse..... Veux pas lui...... juste toi et maman...... tu nous as mon bébé....je sais pas comme tu voudrais...mais nous serons toujours là..... et tatie? regarde j'ai la broche.... Oui elle va bien Tatie...elle t'embrasse très fort.....et cette broche garde la précieusement....tu sais il faut toujours garder les cadeaux des personnes qui nous aiment.... ils se firent un calin jusqu'au moment ou le reste de la fratrie vint les rejoindre....il fit dejeuner les enfants.... Bon tout est prêt? oui 'pa... nous allons au marché....Sylphaël..ta liste est prête? ma liste? Oui pour ce fameux gateau.......




Papa?...c'est vraiment non pour la cabane? Désolé mon garçon c'est vraiment non.....et puis qui protégera Lyla...tu sais à quel point ta soeur est attachée à toi...et Aby...Lonan a toujours vécu avec elle...vous partiriez aisni seuls en laissant vos soeurs? Le garçonnet rougit.... Non bien sur que non..... Alors tu vois.....bon zou tout le monde au marché, j'espère que nous pourrons récupérer Bertille, j'aimerai qu'elle garde un peu Clodulf....pendant que nous irons au four du village.... Il se pencha vers Sylphaël...et lui appliqua une bise sur la joue... t'inquiète pas va , on en reparlera avec maman et je te promet que je t'y emmenerai dans la cabane.... Dis tu crois qu'on pourra aller attendre maman à la sortie du couvent? Oui nous irons l'attendre tous ensemble... Ils partirent et arrivèrent au village, ils firent les étals pour trouver ce dont ils avaient besoin, Bon il est prêt à cuire.....je le met dans le four? oui je crois qu'il est à bonne température..... Tiens regarde qui voilà..... Bonjour Bertille...alors reposée ? Bonjour Clelala, bonjour les enfants....oui reposée cette journée m'a fait du bien j'en avais besoin.... ces petits n'ont pas été de tout repos... bien dans ce cas, nous pouvons retourner au campement une fois ce gateau cuit..... Papa?.....tu as pris de quoi manger? Oui .....vous ne mourrez pas de faim......

marilou avait suivi les indication de clélala ,elle avait quitter les soeurs un peu plutot dasn la matinée ,elle voulais retrouver sa famille ,autour du feu ,il lui fallait parler aux enfants avec clé ,c'est d'un pas léger qu'elle travarsa le village ,s'arretant au marché pour prendre de quoi faire une potée de légume avec du jambon ... elle arriva aux indications,donner par cle . ,ne trouvant personne ,la tente etait bien la dresser devant ces yeux ,le feu eteind en disait long ,il etaient tous parti faire une ballade ,mari s'installa et commenca a eplucher les légume ,puis le mis dans le chaudron ,s'activant pour rallumer le feu ,elle deposa quelque brindille et ,du petit bois et souffla dessus ,esperant qu'il rester une braise pour le rallumer . le feu pris ,au bout d'un moment ,marilou posa 3 belle buche et accrocha le chaudron audessus des flammes ,elle ajouta de l'eau pour que les legume cuisent ... elle se releva et decida de faire le tour du campement et de trouver une place pour mettre ces peaux ,pour une nuité a la belle étoile ,elle amassa des feuille et de l'herbe ,puis se fit un paillasse,pour la nuit .une fois installer elle revient prés du feu et regarda les flammes danser ,plongeant dans les souvenirs



Ils revinrent du marché avec le gateau encore chaud... et eurent la surprise de trouver le campement avec une odeur de potée....Mari était là pensive...les enfants se ruèrent vers leur mère..et il s'approcha doucement... Bonjour Mari.... Bonjour Clé, Ils s'étreignirent comme deux amis, son parfum raviva les souvenirs des temps heureux et il grimaca une moue de souffrance....l'envie de la prendre dans ses bras et de l'embrasser sur les lèvres, il devait la repousser.... il fit un effort pour la laisser....et s'intalla auprès du feu. tu as préparé le repas.....les enfants vont m'aider à mettre ce dont on a besoin...


les enfants lui sautèrent dessus et elle se mit a rire de son rire cristallin ,se levnt difficilement ,elle etreignit clé ,une monter de desir ,la prie ,elle se depecha de chasser son emoi et le salua avec un petit bonjour et un sourire . tu as préparé le repas.....les enfants vont m'aider à mettre ce dont on a besoin... j'ai besoin ...enfin il faut mettre les ecuelle et les remplir de poté pour manger voila me tortillant les mai ,je m'approcha deu chaudron et le pris avec un chiffon ,pour le mettre hord du feu... je servit tout le monde et m'installa prés des enfants ,regardant clodulf qui reclamer lui aussi ,un peu de legume ,il etait tant de lui donner du solide le soir ,je mis une cuillere pret de ma bouche et souffla dessus avant de la présenter a clodulf ,qui ouivrit la bouche et englouti la cuillere... mon regard se porta sur cle et ,je me mis a rougir legerement ,detournant mon regard avant qu'il puisse le surprendre ,je demanda au grand ce qu'il avait fais aujourd'hui.... une simple facon d'evité a trop pensé ,m'occuper des enfants prener toute mon attention

Il prit l'assiette tendue par Mari...l'odeur était alléchante pourtant il regarda le contenu et poussa un soupir...il tritura un peu les légumes du bout de la fourchette....non décidément rien ne passait en ce moment...il se leva et remit le contenu dans le chaudron....essuya l'assiette avec une touffe d'herbe et vint se rasseoir...il planta son regard sur mari et murmura....il faut que l'on parle.... je refuse absolument que Sylphaël et Lonan aillent vivre seuls dans la forêt...et je le leur ai dit.... j'espère que tu insisteras pour qu'ils viennent tous ensemble à la maison...je compte sur toi Mari..autrement je les y conduirai moi-même ils mangaient en silence...le nez dans leur assiette.....



je fut captiver par les paroles de cle et lui sourit je compte bien les ramenais au clos et les attacher pour qu'ils y restent... sylphaël releva la tête de son assiette et me regarda les regard baigné de l'arme ,je fut emu et me leva pour le prendre dans mes bras mon p'tit ange ,je taquine en disant cela ,tu sait ce que je pense ,et je t'ai dis que ...enfin tu sais ,et j'ai peut etre trouver la bonne solution ,mais avant je dois en parler avec papa ,enfin pour l'instant ce n'ai qu'une solution temporaire ... le bercant dans mes bras je lui murmura des mots rassurant et je senti un petite main ,me serrer ,je regarda et decouvrit lyla qui voulais aussi un calin ,ainsi que aby et lonan ... l'appetit n'avait pas etait au rendez vous ,je me releva tant bien que mal et dis on range les reste du repas et apres on feras des galipette ensemble ,mais avant on range et nettoie ... du regard je chercha l'aide de cle ,sans un mots ,je pris les ecuelle restante et ,mis les reste un peu plus loin pour les animaux ... je me rapprocha de cle et lui dis on en parlera plus tard ,cle ,pour l'instant les enfants on besoin de nous maman tu pense dormir au clos ?????? la question me surpris et je n'osa pas regarder sylphaêl en repondant oui surment



Il senti une pointe d'ironie dans les propos de mari..et la regarda tristement..... Mari je n'ai pas l'intention de les attacher..je pense seulement qu'ils sont trop jeunes encore pour vivre seuls... il se secoua pour prendre part au rangement...il se pencha su Sylphaêl....et lui murmura ne pleure pas petit elfe ...tu ne dois pas penser que tout ca est ta faute.... il prit Clodulf dans ses bras....décidement les enfants mêmes le fuyait... il regarda mari à nouveau et lui murmura tu as la solution...je t'écoute.....cependant je voudrais savoir pourquoi Joey devrait donner son avis sur l'éducation de nos enfants.....


je regarda cle et soupira ,tu vois tu interprete mal mes paroles ,il na aucun regard sur nos enfants ,son seul soucis c'est que les enfants soient bien ... ma solution ,ben c'etait de faire uen cabane dans le jardin ,mais oublie cela ,je rentre au clos et je dormirais au boudoir... quand a toi sylphaël ,une fois que les chose seront arranger tu pourra aller dasn la boulangerie et vous faire un coin ou vous pourrais venir quand vous en resentait le besoin ... cle j'aimerai qu'on parle ,mais pas devant les enfants ,je suis assez dechirer comme ca ,.... prend un peau ,je m'eloigna un peu et posa la peu au sol puis m'agenouilla et joignit les mains ,pour faire une priere ... la priere fini ,je me releva et passa les main autour de mon cou ,quand je senti la chaine ,un souvenir me revint et ,je detacha la chaine avec la medaille ,m'avancent vers cle ,je me glissa derriere lui et lui fixa sa chaine a son cou et le remerciant dans un murmure ,reprend ton bien ,tu en a plus besoin que moi en se moment ... je me retourna ,et parti en marchand ,avant qu'il puisse esciver un geste ,mes yeux s'embrumèrent et je dis je vais faire une promenade au bord de la riviere ,rester avec papa c'est l'heure du coucher _________________

Il s'assura que les enfants soient endormis et la rejoignit dans la nuit fraiche... Mari, je ne lui demande pas de se soucier du bien de mes enfants....et je te demande de ne plus me parler de lui, je pense que nous sommes assez grands pour décider sans lui...mais bon je dis ca je ne dis rien... tu feras comme tu voudras....mais si nous pouvions éviter de nous faire autant de peine... Il se cala sur une pierre et continua d'un ton plus léger...malgré le peine qui le submergeait... Pour la cabane je suis d'accord ..ils seront protégés...dans le clos...j'y avais pensé aussi d'ailleurs.....maintenant voulais tu me parler d'autre chose?



je regarder l'eau de la rieviere et je ne l'entendit pas arriver ,je fut surprise et plongea mon regard dasn le sien ,aucune parole ne franchirent mes lèvres ,je reta la a le regarder ,me noyant dans le bleu de son regard


Il la laissa plonger son regard dans le sien espérant qu'elle y verrait la supplique....faisons la paix et avançons calmement sans nous blesser..c'est tout ce que nous pouvons faire en ce moment...pour le bien de tous..... Il tourna ensuite son regard vers le lointain....il se sentait si triste de voir qu'ils n'arrivaient plus à se parler qu'il fit soudain demi tour et regagna la toile ...il s'allongeat dans le noir sachant que le sommeil ne viendrait pas le prendre avant longtemps....s'il pouvait dormir et ne plus se reveiller pour mettre fin à ce cauchemard qu'était devenue sa vie.....seule la présence de ses enfants le retenait encore..........



elle le devora et lut dans son regard l'amour qu'il lui portait...soudain il se detourna et parti vers la toile ,je ne sue que faire ,lui crier après ce que je ressentais ou bien me taire et aller amon tour m'allonger sur la couche que j'avais preparer ... je me decida sasn un mot j'alla ama couche et je m'allongea regardant les ciel etoiler ,je me mis a prier mon parrain ,pour qu'il me montre le chemin. c'est l'image de mon ami doc eveque de poitier qui vint s'installer et qui se mis a me parler ,dasn le silence de la nuit ,je lui confessa mes pêcher et lui demanda de m'aider a retrouver le chemin de la raison et non celui de la trahison... je ferma les yeux et les parole de doc me hantèrent toute la nuit ,lui mon vieille ami s'opposer fermement a benir ma trahison ,cela ne m'etonna outre mesures ,je lui avait demander l'impossible ... je regarda une dernier fois les etoiles puis ferma les yeux pour trouver le sommeil qui me fuyais ... le temps s'ecouler lentement,ne trouvant pas le repos ,je me releva et parti ala riviere ou je me deveti et me plongea dasn l'eau fraiche pour me laver de tous les pêcher ,l'eau me fis frissonner et au lieu d'en sortir ,je m'allongea dans le lit de la rieviere et je ferma les yeux . mon corps avait froid ,mon ame bouillonnais ,je resta ainsi,dans l'attente d'une aide . j'avais trahie les liens ,il ne me rester plus qu'a me faire bannir ...quand soudain j'entendis la voie de mon ami me dire ,ne fais pas cela ,ne te laisse pas emporter par le malin ,sois plus forte et demande le pardon ... je resta la l'eau ruisselant sur mon corps frissonnant,l'attente serait longue



Bien longtemps après qu'il fut couché il entendit Mari se glisser sous la toile, s'allongeant sur sa couche, la tête tournée vers le ciel...il n'osa souffler mot...et se mit à prier, à quoi pensait-elle? il était aux aguets guettant sa respiration, le sommeil la fuyait elle aussi...dans le silence de la nuit leurs deux esprits se recherchaient-ils? Il tritura silencieusement sa médaille de baptême, ses parrain et marraine avaient été rappelés par Aristote...Mari se souvenait -elle qu'ils avaient eu le même parrain...celui-ci pourrait il oeuvrer pour leur salut.... il était plongé dans ses pensées quand soudain il entendit un bruissement.... Mari sortait dans la nuit...il attendit longtemps ,s'inquiètant de cette longue absence., ...le petit jour pointait quand il se décida à se lever pour aller voir où elle pouvait être... il entendit le clapotis de la rivière et soudain prit peur...si Mari avait choisi la fuite....si elle était en train de faire une bétise...il acceléra le pas....et arriva sur la rive, il la vit, dévêtue, le corps flottant dans le courant....il avisa ses vêtements et prit la longue chemise.... Mari!!!Mari!!! je t'en conjure ne fais pas de bétises...les enfants ont besoin de toi...cria-til...et moi aussi murmura-til pour lui même, Je t'en conjure sort de cette eau....il s'approchait doucement, s'enfonçant progressivement dans le faible courant....elle le regarda surprise.... Viens, viens ..... Il lui tendait la main, espérant qu'elle l'atrraperait....il la voyait frissonnante....il était prêt à la couvrir et à la réchauffer....il plongea son regard bleu limpide dans le sien tourmenté.......

la main de cle se tendait devant mes yeux ,je le regarder,sans vraiment le voir ,je leva ma main puis mon bras ,le tendit vers lui .... j'avais froid ,je voulais rentré chez nous ,seul cette pensée me sorti de mon etat segond et ,je le regarda comme la premiere fois ... je lui pris la main et m'assit avec son aide ,puis ,me levant difficilement ,je lui murmura donne moi ma chemise s'il te plais ,j'ai froid ... je ne sasi combien de temps ,j'avais été allonger la essayer de me laver l'ame de mes pecher ,mais cela a du durer ,le jour pointé a l'horizon ... mes priéres serait peut etre entendu ,je devais retrouver le chemin que parrain avait tracer pour moi ,je leva mon regard au ciel et le vit a travers les nuage ..je lui adressa un sourire puis pris ma chemise que cle me tendait ,je l'enfila dasn un frisson de bien être et attrappa ma jupe ,que je glissa sur mes jambes encore humide . cle peux tu faire du feu ,j'ai besoin de me rechauffer ... je plongea mon regard dasn le sien ,et sourit . dis moi à quoi pensais tu en t'allongeant dans le lit de la riviere ? j'ai bien cru que ..que ...enfin tu es la ,je vais faire du feu..


m'enfin ,je voulais juste me laver ,je ne trouver pas le sommeil ,et purifier ,enfin ,essayer de purifier mon corps ,je me suis dis que après je dormirais ,je n'ai pensait a rien d'autre ... je le vis tourmenter la peur que je commette l'irréparable ,la traverser ,je ne voulais que me purifier ,comme le jour de mon bapteme


Il ramassa des buches et mit des brindilles puis alluma un bon feu, il en profita pour aller chercher de quoi faire de la tisane sombre..Mari se rapprocha du feu pour se réchauffer.... tu as voulu te purifier?! te sens tu mieux maintenant? veux tu un peu de tisane sombre? ca te fera du bien ..et à moi aussi.... Il s'assyea près d'elle, et la regarda.... as tu envie qu'on discute? Il se sentait un peu mieux, malgré le manque de sommeil...et était prêt à l'écouter...



je m'installa devant le feu et lui dis oui pour la tisane ,le regardant je lui dis encore ,discuter de quoi cle ? me sentir mieux peut etre ,un peu ,mais c'et pas le top j'ai trop froid ,je crois que j'ai sombré dans le sommeil sens m'en rendre compte ... prenant le bol de tisane chaude ,je le serra fort et l'approcha de mes levres ,cela allait surement me rechauffer . j'aimerais que l'on rentre chez nous ,avant tout ,je dois t'avouer que je vous aimerais tout les deux


Il prit son temps pour répondre.... Nous rentrons chez nous Mari, et je ne peux t'empêcher d'aimer Joey...je ne te garantie pas que je lui pardonnerai, mais je ferai l'effort d'essayer, pour ton bien être et celui de notre famille....c'est tout ce que je peux te promettre pour le moment...le temps effacera peut-être la blessure...et je ne t'interdirai jamais de le voir..... Il se leva et prit une peau, il l'entoura sur les épaules de Mari... son bain prolongé l'avait glacée et elle frissonnait encore....


Ils rentrèrent côte à côte au campement, les enfants s'éveillaient les uns après les autres....ils essayèrent de déjeuner...couvant chacun les enfants du regard...ils passèrent leur journée à essayer de retrouver les fils de leur vie...le temps passa vite et il était temps de préparer la carriole, atteler grisou....ils quittèraient la ville bientôt.