Marilou... des débuts difficiles !

"Fille d'une famille de paysan. Je ne vécut pas heureuse ,mon père me maltraitait devant le regard impuissant de ma mère...un jour je pris mon baluchon et fuit le domicile familial. Je n'avais qu’une hâte trouver la paix ....aimant la nature et demandant son aide ,J’arrivai à Saint Aignan.

Les mois passèrent, Je me montrais peu au village, je craignais les gens, j’avais peur qu’on me retrouve.

Un jour je commis un petit larcin, et le sergent me mit en garde, je fis connaissance avec lui et de fil en aiguille je me liais au sergent, j’avais besoin d’un parrain pour me guider et j’acceptais sa proposition pour ne plus commettre de larcin, un jour il me proposa de devenir mon parrain, il s’appelait Gorille.

J’avais voulu oublier mon passé mais c'était compter sans le destin qui me fit retrouver mon grand frère Anatos ...il était parti de la maison familiale bien plus tôt que moi, j’avais un vague souvenir de lui, mais maintenant j’étais décidée à rattraper le temps perdu ,et à lui donner la tendresse que son père lui avait volée ...

Un peu plus tard je fis la connaissance d’un homme qui me demanda de devenir son épouse, je lui accordais ma main, confiante je me donnais à lui, un peu plus tard cet homme revint sur sa parole et nos chemins se séparèrent, j’étais désespérée, ma douceur et mon entrain attiraient bien des hommes mais aucun ne restait près de moi, je finis par croire que je leur portais malheur, j’avais déjà perdu un homme, kaamelot, qui périt à la guerre, puis cet homme me quittait.

Quelques temps plus tard je découvris que j’étais enceinte, je mis au monde un fils Sylphaël, le 5 juillet 1455, le grand bonheur de ma vie.

Je décidai de partir pour Sancerre, et me retournai une dernière fois sur ce village où j’avais vécu heureuse.

Le temps était venu de tourner une page du grand livre de ma vie.

Après six mois difficiles, où je me suis battue pour mon salut et mon fils, la guerre a éclaté, nous avons été appelés à défendre le village et tout le Berry.

Pendant cette campagne, je fais la rencontre d’un homme et ma vie va basculer, je le repousse d’abord, puis je lui ouvre mon cœur, Je rentre à Sancerre où je prend la décision de retourner dans mon village natal, Saint-Aignan, je laisse derrière moi un amour fantôme.

A ma grande surprise et pour mon bonheur le plus total, Clélala, me suit, à Bourges, il demande ma main, je lui dis oui pour la vie..."